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Ferrari 125 S (1947)






Au premier abord, la Super-Elite ne présente pas de très grosses améliorations comparé à la version Elite, mais la toute première chose que l’on remarque c’est l’adoption de toutes nouvelles jantes encore plus fines que sur l’Elite qui donnent vraiment une impression plus réaliste à cette miniature.
Lorsque l’on soulève le capot, un sentiment de finesse se dégage du moteur, surtout au niveau des différentes durites maintenant renforcées et qui ont perdu l'aspect plastique de celles de l'Elite. Le cache central est désormais en photodécoupe, ce qui donne au moteur un aspect beaucoup plus métal.




La planche de bord a été aussi retravaillée, les compteurs légèrement plus gros, sont aussi plus nets. Lorsque l’on regarde le levier de vitesse, on imagine pouvoir monter et descendre les rapports, ce qui n’était pas le cas sur la version élite qui présentait un pommeau exagérément gros et un manche bien trop long. Le plus gros reproche que l'on peut faire à cette miniature se situe au niveau des charnières de l'unique porte: que ce soit en Elite ou en Super-Elite, elles sont vraiment grossières et disproportionnées, inadmissible sur un modèle de ce prix !
En conclusion nous pourrons retenir qu’il n’est pas vraiment utile d’investir dans une version Super-Elite comparé à une Elite, moitié prix, qui reste très aboutie et tout aussi fidèle à l’originale, sauf si tous ces petits détails ont une grande importance pour vous et que, comme le créateur de ces bolides, vous ne recherchiez que l'excellence...



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